« Trois causes profondes expliquent le débâcle de notre pays sous le PCT, mais surtout depuis 1979. Trois facteurs endogènes :
- « L’incurie, le vol caractérisé et la corruption ont atteint sous le régime de Sassou Nguesso issue du 5 février 1979 des propositions suicidaires pour l’Etat »
- Plus grave toutes les valeurs civiques et morales ont été détruites : la corruption et le pillage des déniés publics institutionnalisés
- l’injustice sociale, le culte de la médiocrité qui ont sapé les fondements moraux de la société congolaise »
LA CAUSE : « L’abus de pouvoir et l’abus d’autorité ; beaucoup de nos compatriotes vont être victimes des malversations, de la paranoïa et du comportement délinquenciel de l’homme imbu de son autorité et de son pouvoir. Sassou Nguesso, pavoisant ses fonctions et son autorité comme paravent, va abuser des épouses de ses amis et collaborateurs comme pour vouloir parader en coq de la basse cour où lui seul compte »
Maître Jacques OKOKO.
« Je vais vous dire une chose, Monsieur le Président de la République, vous devriez aller vous constituer prisonnier le 18 mars 1977. Vous ne l’aviez pas fait. La moindre des choses que vous devriez faire, Monsieur le Président de la République, c’était de démissionner et non de se maintenir car votre maintien a gêné le procès.
2°- La deuxième chose que je vous dis Monsieur le Président de la République, c’est vous, vous voyez que je vous regarde. Je crois que vous êtes devant votre téléviseur. C’est vous, Monsieur le Président de la République, dès le 17 mars, vous tout seul, étiez le Patron du Congo. Entre le 18 et jusqu’au 5 septembre 1977, vous tout seul, avec votre sécurité d’Etat et le Service de la Défense nationale, aviez dirigé, contrôlé, coordonné l’enquête qui a abouti au procès de Marien Ngouabi. Je dis, Monsieur le Président de la République : qu’est-ce qui s’est passé le 18 mars 1977 jusqu’au 5 septembre 1978 ? Vous seul savez puisque vous contrôliez tout ; c’est vous qui arrêtait les gens, les interrogeait.
3°- Il y a une troisième chose importante. J’ai eu à entendre ces personnes qui sont intervenues ici. Alors, je dis ceci ; vous êtes responsable du dossier de Marien Ngouabi et si j’étais à votre place, Monsieur le Président de la république, en tant que Ministre de la Défense, le Président de la République meurt assassiné , alors que toutes les troupes sont consignées, moi, OKOKO, si j’étais à votre place, j’allais me tirer une balle dans la tête sauf si je suis l’auteur ou le commanditaire »
Le COLONEL Louis MAZELA
Grand officier sorti des Grandes Ecoles et non fabriqué sous l’égide de « yaka noki noki ».
« Ce que l’on attend d’un chef d’Etat, c’est l’exemplarité de la morale. Or, chez nous le Président est l’exemple même de l’indécence et de l’ignominie. Et moi, je n’ai pas supporté qu’il ait baisé ma femme et j’ai demandé le divorce »
Léon ANGOR
« Suivant ceux qui m’ont précédé, je demande aux cadres et dirigeants du Parti unique ; la restitution au peuple congolais, tous les millions et milliards détournés ou volés, déposés par eux dans les banques des pays hautement industrialisés de l’Europe et de certains Etats africains ; des biens mobiliers et immobiliers de l’Etat qu’ils se sont accaparés. »
Le PCT (Parti Congolais du travail)
Avec Fulgence MILANDOU ou quand le caméléon prend la couleur du milieu où il se trouve dans la plus grande hypocrisie que le vice rend à la vertu. Une mutation spectaculaire et hallucinante.
Mais qui peut les croire ? « Un menteur n’est jamais cru même quand il dit la vérité car on ne sait jamais à quel moment il ment, et quel moment il dit la vérité ». Jugez par vous-mêmes !
« La démocratie pluraliste suppose, la libération des énergies suivant la logique qui, en préservant le tissu social constitué, doit permettre la recherche des solutions aux problèmes vitaux de la société à partir du débat contradictoire constructif ; la compétition loyale, légale et pacifique entre les différences forces politiques en présence, le tout dans le cadre d’un Etat des Droits.
C’est à celui à qui on aura donné la majorité par les urnes, qui aura l’honneur de gouverner. Mais il ne faut pas oublier que le temps arrive à tout erroné. Le Parti unique qui avait soulevé l’enthousiasme dans le peuple se trouva prisonnier dans son propre système. Ces temps octroyés le monopole de la pensée et de l’action politique. Il se sclérosa, il ne trouva plus en son sein la force nécessaire pour le changement. Alors, comme par instinct de conservation, il se referma sur lui-même, ne voyant rien, n’entendant rien, ne sentant rien ou plutôt, ne le voulant pas.
Il se mit à contempler son nombril ; c’est là que vint tout le mal. Nous passerions des heures en jérémiades inutiles, essayant d’expliquer ou de justifier nos erreurs, le Parti unique a ses limites. Il est porteur de tares pour sa propre destruction. Le PCT n’y a pas échappé. En réalité, le multipartisme vient à la rescousse de notre parti car les causes endogènes et exogènes finiraient par avoir raison de lui. Il nous a fallu du temps et du courage pour le reconnaître parce que concernés nous-mêmes.
Il est illusoire de penser qu’entre gouvernement et le Parti, même au moment où le Parti avait le rôle dirigeant, les points de vue entre les deux aient toujours été unanimes. Depuis longtemps par exemple, le Parti avait demandé au Gouvernement de supprimer les barrages sur les routes. Eh bien, certains de ces barrages persistent jusqu’à ce jour. Regardez au Pont du Djoué et Djiri, et considérés ces braves et laborieux paysans, courbés sous le poids de l’âge et les durs travaux champêtres, voyageant dans des conditions animales, alignés, résignés, livides, les mains calleuses serrant fébrilement les papiers d’identité exigés par les Forces de l’ordre.
Mais chose curieuse, les propriétaires des voitures individuelles ne sont pas arrêtés. Ils ne sont pas obligés de montrer carte blanche pour passer. Du coup, les commérages vont bon train. Les aides chauffeurs crient à leurs passagers à l’approche du Djoué ou de Djiri : « livret na maboko, nous allons entrer en République populaire du Congo ou en République du Congo ; ceci selon que l’on entre ou sorte de Brazzaville… Ceci serait évité si en face du PCT, d’autres forces politiques existaient »… Les Forces de l’Ordre étaient devenues les assassins de l’Ordre ou les Forces du désordre. Nous avons déploré dans notre pays, l’enrichissement illicite, le favoritisme et le sentimentalisme, la tendance à l’arrogance, l’intrigue, le manque d’efficacité, le libéralisme et le laisser aller, le non respect des textes, lois et statuts, le tribalisme et le régionalisme, le détournement des biens publics, l’impunité, etc. ceci est un extrait du document N° 5 du document : Plate forme politique adopté au 4ème congrès extraordinaire du PCT.
Le chemin de l’enfer étant souvent pavé de bonnes intentions, dans le souci d’une gestion seine, nous avons tenté l’expérience de la trilogie déterminante. En réalité cette trilogie n’avait rien de déterminant, elle était plutôt déterminée à gérer les entreprises et l’administration. Comme si tout ceci ne suffisait pas le peuple congolais a été endeuillé par la disparition de plusieurs de ses enfants. Des manquements au respect de la vie humaine ont été notés. Le Parti congolais du travail estime que ces tristes événements relatifs à une période historique donnée, aujourd’hui remise en cause par l’ensemble de la communauté nationale doivent être évoqués et décriés pour ne plus diviser le peuple congolais.
Le Parti congolais du travail rappelle que les mécanismes d’exhumation de tels dossiers existent. Il s’agira si tel est l’avis de notre peuple de prendre en compte tous les cas y relatifs depuis 1956 à nos jours. Le PCT quant à lui, n’a jamais prescrit à ses membres des missions louches. Ceux de ses membres qui se sont rendus coupables de pareils forfaits vexatoires doivent en répondre devant le peuple et l’histoire. Car dit un proverbe de chez nous « si les palmiers sont devenus géants c’est qu’ils ont été régulièrement taillés pas son propriétaire ». Et celui qui fixe la loi, tombe souvent sous le coup de la loi. En tous les cas, le PCT demande humblement pardon au peuple congolais pour toutes les fautes commises connues et inconnues.
Il s’engage désormais à faire de la transparence et de la sincérité ses règles d’or et son chemin de bataille. Il veillera désormais au respect des nouvelles règles du jeu afin que le pouvoir d’Etat soit à la portée de chaque citoyen dans la paix et le concorde nationale sans crainte aucune de représailles. Nous savons que le PCT ne partage pas tous les points de vue qui ont été émis ici mais nous voulons dire que le PCT approuve la majorité des critiques et propositions faites ici. Lors de son dernier congrès extraordinaire de décembre 1990, notre Parti a réellement subi des transformations de fond. C’est ainsi que nous souscrivons de manière générale à ce qui est et qui va en faveur du peuple.
Désormais dans la reconstruction de notre pays, nous vous prions de compter avec le Parti Congolais du travail. Mgr, je poursuis. On a parlé des urnes.
- Oui le PCT lui aussi veut des urnes honnêtes. La question paysanne a été aussi évoquée ;
- Oui le PCT lui pense qu’il est temps de régler cette question importante et capitale. On a proposé une commission « des biens mal acquis » ;
- Oui le PCT lui aussi ne veut couvrir les voleurs. Méritocratie, vous avez dit méritocratie ;
- Oui, le PCT veut lui aussi que l’homme s’élève par l’effort. Il a été question de briser la spirale de l’insurrection ;
- Oui le PCT veut lui aussi que cette transition participe. En réalité, les points de vue qui nous rapprochent sont nombreux que ceux qui nous divisent. Tous les politiciens véreux doivent être éjectés ;
- Oui le PCT lui aussi milite pour cela. Cependant prenons garde d’aller à l’enthousiasme. Etablissons les faits avant de sévir pour ne pas regretter des jugements trop hâtifs. Il ne faut pas punir des innocents ;
- Oui, Oui ? Oui le PCT veut lui aussi le changement. Il ne veut plus être celui par qui tout le mal est arrivé ;
- Oui, Oui, Oui le PCT lui aussi ne veut plus tricher ;
- Oui sur le chemin qui mène vers des lendemains qui chantent. Il faudra désormais compter avec le PCT nouveau débarrasser de ses censeurs du passé.
Monsieur le Président, mesdames, messieurs, Peuple congolais, le PCT voudrait aussi retenir votre attention essentiellement sur la crise économique que connaît notre pays. Elle semble être l’autre base de toutes les mutations et de ses secousses qui sous-tendent cette aspiration à la nouvelle donne politique, au pluralisme d’opinion, aux libertés fondamentales, bref ;.aux valeurs sociales. La crise économique et sociale que traverse notre pays suscite beaucoup d’interrogations de la part de nos compatriotes. La crise actuelle n’est pas propre à notre pays, elle n’est pas non plus attribuable à un système à orientation socialiste ou capitaliste. C’est une crise internationale pour laquelle, les pays envoie de développement en général, les pays africains en particulier, payent de lourds tributs…. ».
« Nous nous adressons aux autres partis. Nous voulons leur dire aimablement dans aucun esprit de redresseur de torts ou de donneurs de leçons. Vous nous avez dits que le PCT n’est pas le monstre du Yoknesse dont on parle ce n’est pas non plus le mokélébembé du lac Kellé encore moins une vilaine petite bête méprisable. Flouc ; flac nette émerge tour ; il est bâti par les flots mais ne sombre pas. Nous n’avons aucun mérite : c’est la devise de la ville de Paris.
Plusieurs intervenants dans cette salle ont sonné du glas. Nous les prions de ne pas se tromper d’enterrement. Le PCT nouveau habille un bain de jouvence ; on lui a pratiqué la saignée salvatrice, grâce à la présence des autres partis sur la scène politique, il ne connaîtra plus de légendaire assez fébrile. Il va devenir un Parti de compétition. Il est d’attaque dans le strict respect des règles du jour à donner la réplique aux autres partis car ne voulant pas triompher sans gloire, il ne veut point vaincre sans péril. Le désir de connaissance ne pouvant point être étanché, le Parti dans sa soif, s’est doté d’un programme aux idéaux généreux et humaniste. Il s’est délaissé de toute sa trempe qui empêchait le joyau de briller de tout son éclat. Notre Parti est ouvert à la critique, au perfectionnement incessant car que vous êtes. Prenez—garde s’il vous plaît à ne pas devenir ce que nous avons été »…. « Si le mort refuse de se faire la toilette dit un proverbe berbère, il arrivera tout sale devant le bon Dieu »
Qu’est-ce qu’il en est advenu après cette longue repentance, ce grand mea-culpa, cette espèce de mutation à la qui va vite 18 ans après. Eh bien le mouton est reparti là où il avait brouter de la bonne herbe. La mutation ne s’est pas produite, en se muant, le long serpent ne changea pas mais garda sa propre nature et pareille à la branche d’arbre, qui « pourrait séjourner des années durant dans l’eau, jamais, elle n’est devenue poisson »
Comme vous devez vous en rendre compte, le cas de Sassou choque, émascule et interroge. Et la question est, et reste celle de savoir si ce personnage incarne t-il ou garantit-il cette valeur que tous les Congolais ne lui reconnaissent pas, celle de la morale ? Cependant le monde entier sait et connaît l’homme jusque dans sa moelle épinière. Il a 112 comptes bancaires de l’argent volé au peuple congolais en France et à Monaco et pour lesquels il avait voulu les traficoter au nom de fille chérie aujourd’hui entrain de rendre compte à Dieu pour son implication active dans le coup d’Etat de son père qui l’avait ramené en 1997, dans les bombardements massifs contre les populations du Sud du Congo, car je le sais puisque ça m’a été bien confirmé par les autorités militaires du Gabon que c’est elle, sans même l’accord de son mari le Président Bongo, qui faisait survoler les avions qui allaient distribuer la mort à nos parents, c’est elle qui était à l’origine de l’annulation pour les congolais de l’étranger à voter en 1992 car elle avait fait gonfler en multipliant par 100.000 le nombre des congolais au Gabon ainsi de 40 congolais, ils étaient passés à 400.000 dépassant même la population locale.
Cette tricherie poussa Mgr Nkombo qui me fit la révélation, à l’époque Président du Conseil Supérieur de la République à faire annuler l’élection des congolais à l’étranger tout ça pour le compte de son père. Il est né voleur, barbare, délinquant, bandit de grand chemin, détourneur des deniers publics, assassin, escroc, rien que ces quelques exemples le mettent hors jeu, hors du processus électoral. Il devient immoral et amoral.
Dans un pays exigeant, civilisé et regardant Sassou Nguesso perdait déjà tous ses droits civils, il croupirait le reste de sa vie en prison ou il passait à la guillotine. De la bonne moralité, Sassou Nguesso ne l’est pas. Il est plutôt l’incarnation de la salissure. Il a tutoyé et dépravé toutes nos mœurs et nos vertus, il a baisé toutes les épouses de ses collaborateurs qu’il a rapetissés. Il est l’incarnation et l’exemple même de l’immoral. Son comportement d’animal sauvage, le conduirait directement dans un zoo comme nous le proposait Etienne Mokondzi Mobé à la Conférence Nationale Souveraine. A l’époque, quelques Conférenciers étaient offusqués et trouvaient la proposition injurieuse et scandaleuse, mais aujourd’hui, avec le temps et si on l’avait suivi, beaucoup de vie de nos compatriotes serait épargnée. En regardant bien les choses avec les yeux d’Homme, cette proposition répond bien à cette injonction car il s’agissait ici de protéger un pays et un peuple du danger qu’incarne l’animal sauvage qu’est Sassou.
Sassou Nguesso ne respecte rien. Nous sommes devant les principes de la République ; devant les lois de la République et Sassou Nguesso ne les respecte pas. Il remet ainsi en cause : sa propre signature. Nous sommes comme devant un Curé, un Prêtre, un Pape qui ne respecterait pas la bible qui est pourtant son bréviaire, à ce moment là, l’homme ne deviendrait qu’un imposteur.
Quand on commence à cracher et à marcher sur les grands principes de la République dont on est sensé incarner l’autorité et les prérogatives, alors là, il advient un problème. On n’est pas digne de représenter ce pays, cet Etat, cette République, cette Nation là dont on bafoue les textes, les lois. Il y a forfaiture. Et passible de la Haute Cour de Justice pour trahison. Et quand on ne respecte pas la Constitution, on ne respecte pas non plus le drapeau, l’hymne.
Parlant du drapeau et pour joindre la parole à l’acte, je garde chez moi 120 drapeaux congolais que m’avait remis la célèbre vedette de « MA FAMILLE » mon amie DELTA. Il y a deux ans la célèbre troupe « MA FAMILLE » s’était produite au Congo et était reçue par Sassou Nguesso. Au départ du Congo, une Association proche du Pouvoir a remit 120 drapeaux du Congo sur lequel on avait drapé l’effigie d’une certaine garce qui serait la mère de Sassou Nguesso avec des initiales (A.M.A.A.MAMAN MOUEBARA.) Arrivée à Abidjan, DELTA est venue me voir à mon Hôtel (Hôtel Ivoire) me présenter son cadeau et recette congolaise dont elle avait la mission de distribuer dans le monde entier. Distribuer par une si grande vedette comme elle, vous vous imaginez l’impacte qu’aurait produit une telle manipulation ? Quand j’ai vu ça, je me suis mis dans tous mes états et ai téléphoné à Mpila où j’ai demandé à parler à Sassou Nguesso en exigeant des explications appropriées. On m’a passé une certaine dame qui s’occuperait d’une Association au nom de la maman à Sassou. Et comme ces gens là n’ont aucune instruction, parce que ne connaissant pas la valeur et l’importance d’un drapeau parce que nés pêcheurs pour la plupart. Pour subsister et subtiliser quelques billets de banques à Sassou, on fait le feu de tout bois. Pour le séduire et dans leurs calculs macabres, il faut mettre sur le drapeau de la République, ma République, notre République la photo de cette dame sans importance comme si son fils n’avait pas assez fait des dégâts à notre Nation.
On remet un tel drapeau de la République à une grande vedette pour en faire une large diffusion. Mais heureusement que DELTA avait commencé par moi-même et ai arrêté net l’immondice outrageante et de l’escroquerie en saisissant tous les drapeaux au nombre de 120. Ce sont là les exemples et le comportement de ces barbares qui ne respectent rien et qui pensent que le pays est leur propriété et qu’ils peuvent le conduire comme ils l’entendent. C’est une injure fallacieuse.
Un grand merci à DELTA mon amie et heureusement que je me trouvais à cette période là à Abidjan pour m’apercevoir de la perfidie sinon DELTA aurait diffusé des immondices qui dénatureraient notre pays. Mais j’ai pris les noms et prénoms ainsi que les coordonnées de cette dame. Elle nous doit des explications quand nous ravirons le pays et reviendra dans les bonnes mains.
Comme on le voit, la Constitution d’un Etat est le condensé des textes qui incarnent la république et le Chef de l’Etat qui en est son garant, doit les respecter scrupuleusement. Comme feraient un Curé, un Prêtre, un Pape pour la Bible. C’est le fondement de la république. Et Sassou n’est pas sensé l’incarner, il le tronque. Donc, il ne peut représenter notre pays, notre Etat, notre République. C’est un traître qui a trahi et continue de trahir notre République. Dans un pays où le Chef ne montre pas l’exemple, que font les autres amoraux que sont DJON pour ne citer que celui-là qui a mis à plat toute une banque dont il était le PDG ? Et le ministère des Finances qu’il était et qui a emporté, tous nos magots ! Les autres candidats qui ont été aussi de basse moralité, en me lisant, s’y retrouvent et savent ce qui les attend. Et ces gens là n’ont rien à faire de mieux s’ils sont élus sinon pire que l’homme dont ils sont le sosie.
Il faut débouter ces gens là qui sont irrespectueux de nos principes, qui sont amoraux. Et que leur reste t-il à nous offrir se par mégarde, ils sont élus : pillage, vol, détournement, guerre, désordre, coups d’Etat. C’est une véritable remise en cause de nos valeurs intrinsèques.
Mon oncle qui avait beaucoup observé et étudié les aboiements du chien, nous disait : « quand le chien fait « oua, oua, oua », c’est une véritable mise en garde qu’il lance. « Oua, oua, oua » cela veut dire « ouo ouéna makutu ka wa » Que celui qui a des oreilles entende ! A bon entendeur salut !
Fait à Paris le 9 avril 2009.
Maître Tony Gilbert MOUDILOU
Président de l’A.E.D.R.A, membre du MCDDI, le vrai et non le dépravé : celui qui incarna les grandes valeurs cardinales de sa création et initiées par Sony Lambu Tansi le savant.
- Oui le PCT aspire à plus de justice, de liberté de paix et de progrès social ;
- Oui le PCT condamne le vol, l’arrogance, l’esprit de clocher, l’enrichissement illicite, sans cause, l’égocentrisme, l’excentrisme, le pillage systématique de notre pays, le désordre, la manie du beau rôle, etc.