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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 07:26






[CONGOINFOS] -
Si l'on comprend bien les propos tenus la semaine dernière et au meeting de la porte charenton par le porte-parole de l'opposition radicale cette dernière n'hésitera pas à semer le désordre dans la rue si ses revendications concernant l'élection présidentielle ne sont pas satisfaites. Impossible, en effet, de se méprendre sur le sens d'un discours dont l'essentiel se trouve résumé par cette phrase : «Si le pouvoir persiste à refuser de dissoudre la Conel actuelle et à annuler les listes électorales issues de la prétendue révision des listes il n'y aura d'élection pour personne».

La menace de sédition étant claire, affirmée publiquement, claironnée même puisque lancée devant des journalistes à l'occasion d'une conférence de presse il convient sans plus attendre d'en tirer les conclusions. Et de dire ceci :

1) Incapable de s'affirmer sur la scène politique par la voie légale l'opposition radicale provoque visiblement les autorités de la République dans l'espoir que celles-ci commettront l'erreur de la combattre. Mais pas plus qu'elle n'a réussi à empêcher la « concertation citoyenne » il y a un mois elle ne parviendra à détourner le gouvernement de la voie tracée par la Constitution et les lois qui régissent le processus électoral. L'Etat de droit n'est pas une façade comme semblent le croire ces opposants ; c'est une réalité très concrète, très protectrice des libertés publiques, qui a permis à notre pays de sortir du gouffre dans lequel l'avaient plongé les pratiques de ces mêmes personnages.

2) Il se peut que ne parvenant pas à leurs fins les tenants de l'opposition radicale tentent de provoquer des incidents sur la voie publique et recourent, comme ils le firent jadis, à la violence. Dans ce cas, bien évidemment, ils tomberont sous le coup de la loi : les forces de police et de gendarmerie ramèneront l'ordre conformément à la mission qui leur est assignée, les tribunaux seront saisis des atteintes à l'ordre public et si les faits sont avérés leurs auteurs seront condamnés conformément aux principes posés par le Code pénal. Ainsi le veut le corpus juridique qui protège notre démocratie et préserve les citoyens de tous les excès que la passion politique peut engendrer.

3) Que restera-t-il à l'opposition radicale lorsque ses tentatives d'entraver le bon déroulement de l'élection présidentielle auront échoué ? La réponse est d'ores et déjà claire : rien ! Ayant déserté la scène politique pour se réfugier dans l'illégalité, n'étant pas parvenue à imposer sa volonté par la force, ayant perdu le peu d'assise populaire dont elle pouvait se réclamer elle n'existera plus. Et le pire c'est qu'elle se sera détruite elle-même en sciant la branche sur laquelle elle était assise car le peuple congolais ne lui pardonnera pas d'avoir essayé de le plonger dans une nouvelle guerre civile.

Parlez donc, Messieurs, pérorez, insultez, menacez, mais gardez vous d'aller jusqu'au bout de votre propos. Ils sont à l'évidence suicidaires.


Les Dépêches de Brazzaville

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commentaires

N
Sassou est une femme il pleure en ouvrant largement sa gueule ça vous appelez ça général, mon oeil peut être pour les culs des femmes il est champion. Du reste ce sont les imbeciles qui abattent toujours le boulot pour lui. hier c'était soit disant Anga aujoud'hui la main armée s'appelle Adoua. Tout ça c'est effemer Sassou et sa bande rendra compte un jour au peuple congolais.Allez le FPOC
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B
Y a t-il quelqu'un qui a les couilles pour empecher la tenue de l'élection le 12 juillet au Congo. J'ai peut être oublié que le président s'appelle Sassou Nguesso. Ngouelondele lorsqu'il était actif ne s'est jamais opposé militairement à Sassou maintenant qu'il est à la retraite, il a retrouvé les instincts militaires pour croiser le Général Président sur son chemin? Non soyons sérieux, il y aura peut être une guerre de succession au Congo mais elle ne commencera pas le 13 juillet 2009. Surtout pas sous l'impulsion de deux officiers retraités. Politique contrariée par la fermeté de Sassou, ils amusent la galerie en promettant le chaos, ils seront les premiers: eux et leurs militants à hurler aux loups. Nous savons que le combat de Sassou et le FPOC est une baguare de David et Golliath, mais par son culot David a osé et à gagné sur papier il se savait vaincu d'avance. mais son mental n'a laissé dieu indifférent. Osé peut être que vous pourrez conseil de Sarko à Brazza
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L'explosion d'un dépôt de munitions le 4 mars à Brazzaville a fait plus de 2.300 blessés et près de 14.000 sans-abri, le nombre de tués restant inchangé à près de 200 victimes, dont les obsèques se dérouleront dimanche, selon un nouveau bilan jeudi du gouvernement congolais.

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Lors d'une séance de questions d'actualité au Parlement, le ministre du Plan et président de la Commission d'évaluation du sinistre, Pierre Moussa, a donné le chiffre de 13.854 sans-abri.

Les hôpitaux ont reçu 2.315 blessés, dont 297 sont encore soignés, a-t-il précisé. Le nombre de personnes tuées dans l'accident est toujours évalué à près de 200, a indiqué de son côté le porte-parole du gouvernement Bienvenu Okiemy.

Un précédant bilan faisait état de plus de 1.300 blessés et 5.000 sans abri.

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Il s'agit du plus meurtrier accident de ce type, dans des dépôts d'armes et de munitions, depuis 10 ans dans le monde.

Le bilan pourrait s'alourdir encore, d'autres corps se trouvant vraisemblablement à proximité immédiate du dépôt, où la Croix-Rouge n'a pu se rendre jusque-là.

Les obsèques des victimes se dérouleront dimanche à Brazzaville, après une cérémonie d'hommage en présence du président congolais Denis Sassou Nguesso, a annoncé M. Okiemy. Le deuil national décrété depuis mardi prendra fin dimanche.

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Le ministre du Plan a détaillé jeudi l'étendue des destructions autour du dépôt de munitions.

"L'épicentre du sinistre est composé de trois périmètres: le premier périmètre qui comprend le camp des blindés (où se trouvait le dépôt) a été détruit à 98%. Seuls les bâtiments en construction par une entreprise chinoise ont résisté", a-t-il indiqué.

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"Le deuxième périmètre a été détruit à 90% et dans le troisième les dégradations sont aussi significatives"", a-t-il ajouté sans préciser l'étendue des périmètres.

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Lors de la séance au Parlement le député d'opposition Patrice Kadia, a mis en cause le pouvoir en place : "la conservation du pouvoir coûte très chère au Congo, a-t-il dit on n'a pas vu la richesse dans les médicaments pour soigner les blessés, mais seulement dans les armes qui sont gardées dans les quartiers populaires comme des semences".

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Selon le gouvernement congolais, un incendie consécutif à un court-circuit serait à l'origine de l'explosion d'un dépôt d'armes et de munitions à Brazzaville. Le drame aurait fait au moins 146 morts.

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Sénégal: affrontements entre étudiants  et forces de l'ordre à Dakar

Des affrontements opposaient mercredi sur le campus de l'université publique à Dakar les forces de l'ordre à des étudiants protestant contre la mort la veille d'un des leurs lors de la dispersion d'un rassemblement de l'opposition par la police, a constaté un journaliste de l'AFP.

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Les incidents ont éclaté lorsqu'un groupe d'étudiants de l'Université Cheikh Anta Diop (Ucad) a voulu sortir du campus pour aller assister dans un hôpital voisin à la levée du corps du manifestant tué, étudiant en Lettres modernes.

Il est décédé des suites de ses blessures après avoir été renversé par un véhicule lors de la dispersion du rassemblement des opposants à la candidature du chef de l'Etat sénégalais Abdoulaye Wade à la présidentielle de février.

Les affrontements, jets de pierres contre gaz lacrymogènes et balles en caoutchouc, se poursuivaient dans l'après-midi.

Quelques dizaines de policiers déployés à deux sorties du campus de l'université tentaient de disperser de petits groupes d'étudiants qui les harcelaient de pierres à partir de bâtiments du campus.

CAN: le Gabon et Aubameyang s'offrent un sans-faute et la 1re place

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CAN: une finale Côte d'Ivoire-Zambie entre le favori et l'invité surprise

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La couleur orange et vert est à l'honneur à la CAN. Les deux équipes qui sont qualifiées pour la finale de la CAN gabonnaise jouent en vert et orange.

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Evénements

 

Le Congo célèbre le 50ème anniversaire de son indépendance.

 

C’est l’heure du bilan.

Fulbert Youlou - 3 ans : mise en place de la première administration post-coloniale

Massamba Dé

bat -  4 ans : début d’industrialisation du pays

Marien Ngouabi – 9 ans : recrutement d’enseignants volontaires et création du PCT

Joachim Yhombi - 2 ans : Vivre durement aujourd’hui pour mieux vivre demain

Pascal Lissouba  – 5 ans : Gestion des guerres civiles à répétition et de la dette extérieure

Denis Sassou Nguesso – 27 ans : à vous de juger

 

Evénements festifs

 

Mariage, Anniversaire,

Baptême, Retrait de deuil ou

Soirées entre ami(e)s

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