22 mai 2009
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En dépit de la crise financière secouant la planète, la société de téléphonie mobile privée Zain Congo entend poursuivre ses investissements au Congo, a indiqué le 22 mai à Brazzaville, le directeur général de cette société Beston Tshinsele au cours d’un entretien avec les représentants des médias.
«Nous affichons notre ambition à continuer nos investissements au Congo», a-t-il déclaré, ajoutant que l’objectif étant de permettre à la société de s’implanter sur l’ensemble du territoire congolais.
Zain Congo est le premier opérateur de téléphonie mobile à investir au Congo en 1999, soit deux ans après la guerre du 5 juin 1997. A ce jour, la société couvre près de 85% du pays avec 176 localités et plus de 800 villages.
En 2008, cette société qui a réalisé un chiffre d’affaires de 114 milliards de francs CFA, a versé à l’Etat congolais 31 milliards de francs CFA sous forme de taxes.
M. Tshinsele a pris ses fonctions à la tête de Zain Congo le 9 avril dernier en remplacement de l’ancien directeur général Michel Elamé. Il a évoqué quelques innovations au sein de sa structure, notamment l’extension du réseau unique à 22 pays, l’introduction de Black Berry et de Sap Sap (recherche électronique de crédit de communication représentant près de 50% des ventes de la société).
Le directeur de Zain Congo a informé la signature d’un accord avec le syndicat des taximan en vue de la vente du crédit dans les taxis et annoncé la mise en place d’un club média qui servira d’espace d’échanges entre la société et les animateurs des médias nationaux.
La société s’est engagée à offrir des services de qualité et adaptés non seulement aux besoins des consommateurs, mais aussi à la technologie de pointe. Ainsi, selon M. Tshinsele, Zain Congo offrira à ses clients dans les prochains jours, une connexion Internet haut débit sur les téléphones portables et ordinateurs. La société ambitionne de figurer parmi les 10 meilleurs opérateurs de téléphonie mobile du monde d’ici 2011.
Sur la cherté des communications, le directeur général de Zain Congo a fait savoir : «Je viens d’arrivée. Je constate que les coûts de communications au Congo sont parmi les plus bas en Afrique centrale».
Outre Zain Congo, le pays compte deux autres opérateurs privés de téléphonie mobile, ainsi que l’opérateur historique (public) en matière de télécommunications.
Zain Congo est le premier opérateur de téléphonie mobile à investir au Congo en 1999, soit deux ans après la guerre du 5 juin 1997. A ce jour, la société couvre près de 85% du pays avec 176 localités et plus de 800 villages.
En 2008, cette société qui a réalisé un chiffre d’affaires de 114 milliards de francs CFA, a versé à l’Etat congolais 31 milliards de francs CFA sous forme de taxes.
M. Tshinsele a pris ses fonctions à la tête de Zain Congo le 9 avril dernier en remplacement de l’ancien directeur général Michel Elamé. Il a évoqué quelques innovations au sein de sa structure, notamment l’extension du réseau unique à 22 pays, l’introduction de Black Berry et de Sap Sap (recherche électronique de crédit de communication représentant près de 50% des ventes de la société).
Le directeur de Zain Congo a informé la signature d’un accord avec le syndicat des taximan en vue de la vente du crédit dans les taxis et annoncé la mise en place d’un club média qui servira d’espace d’échanges entre la société et les animateurs des médias nationaux.
La société s’est engagée à offrir des services de qualité et adaptés non seulement aux besoins des consommateurs, mais aussi à la technologie de pointe. Ainsi, selon M. Tshinsele, Zain Congo offrira à ses clients dans les prochains jours, une connexion Internet haut débit sur les téléphones portables et ordinateurs. La société ambitionne de figurer parmi les 10 meilleurs opérateurs de téléphonie mobile du monde d’ici 2011.
Sur la cherté des communications, le directeur général de Zain Congo a fait savoir : «Je viens d’arrivée. Je constate que les coûts de communications au Congo sont parmi les plus bas en Afrique centrale».
Outre Zain Congo, le pays compte deux autres opérateurs privés de téléphonie mobile, ainsi que l’opérateur historique (public) en matière de télécommunications.
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